Un nouveau billet de dix euros sera mis en circulation le
23 septembre 2014. Il ressemble à celui émis pour la première fois en 2002 et
intègre les avancées technologiques réalisées dans le domaine de la conception
des billets, ce qui lui assure une meilleure protection contre la contrefaçon.
Sa durée de vie sera en outre plus longue. Une fois de plus le diable se cache
dans les détails, comme la signature de Mario Draghi, qu’il faut lire selon le
principe des valeurs antéchrists inversées, Maria Draghi au féminin, ou Marie
le dragon (le serpent ancien) en clair. Mais cela va beaucoup plus loin, quand
on entre dans le champ des implications historiques et religieuses.
Depuis le nouveau billet de cinq euros émis en 2013, une nouvelle figure mythologique est apparue sous la forme d’Europe. Les
portraits ont traditionnellement leur place sur les billets de banque du monde
entier. Par ailleurs, il est démontré que, de manière générale, nous
reconnaissons facilement les visages. Le portrait d’Europe a été choisi pour
figurer sur les nouveaux billets en euros parce qu’il est clairement associé au
continent européen et qu’il apporte une touche d’humanité aux billets. En
l’occurrence, son image provient d’un vase qui se trouve au musée du Louvre,
à Paris. Le mythe n’est pas un symbole officiel de l’UE, au contraire du
drapeau, de l’hymne ou de la devise. Cependant, le mythe fondateur d’Europe et
du taureau a fait l’objet de nombreuses références, et peut être considéré
comme un symbole quasi officiel voire une personnification supranationale de la
région européenne. Pour poursuivre, il faut d’abord comprendre ce qu’est un
mythe : une allégorie, un mode de représentation figuré qui contenant un
sens différant de celui que l’on peut lire de prime abord. Le mythe communique
son message par différents degrés de symbolisme. De plus, un mythe doit avoir
la capacité de survivre aux siècles, prendre de l’importance et évoluer ainsi
qu’agir comme vecteur d’inspiration. Lorsqu’il est lié à un paysage, comme
c’est souvent le cas, il doit pouvoir transmettre plusieurs aperçus et degrés
de connaissances de ce même paysage.
Il faut retourner le vase pour comprendre la signification
symbolique de la scène opposée. Le peintre ne met pas l'accent, contrairement à
tant d'autres avant lui, sur l'enlèvement d'Europe par Zeus, métamorphosé en
taureau, mais sur la scène de séduction, qui précède l'enlèvement. Aphrodite,
la déesse de l'amour, et son fils Eros inscrivent cette scène dans le
répertoire de la mythologie galante. La coquetterie d'Europe, richement parée,
se reflétant dans le plan d'eau tout proche souligne sa beauté. Cette beauté
séduit premièrement Zeus qui cherche lui-même à séduire la belle Europe. C'est donc
cette œuvre de séduction par un taureau en déférence qui est mise en évidence.
En outre, l'histoire complexe du vase reflète parfaitement les échanges sous-tendant la construction de l'identité européenne. Le vase a été réalisé dans le deuxième quart du IVe siècle avant J.-C. dans un environnement culturel mixte, dans la région de Tarante, située dans le sud de l'Italie, où les Grecs vivaient avec les habitants originels de cette région. Ses origines grecques soulignent l'importance de l'Antiquité dans la formation d'une culture commune. Créé par un artisan grec du sud de l'Italie, le vase a été acquis au début du XIXe siècle par le Musée du Louvre, où il est conservé de nos jours.
En outre, l'histoire complexe du vase reflète parfaitement les échanges sous-tendant la construction de l'identité européenne. Le vase a été réalisé dans le deuxième quart du IVe siècle avant J.-C. dans un environnement culturel mixte, dans la région de Tarante, située dans le sud de l'Italie, où les Grecs vivaient avec les habitants originels de cette région. Ses origines grecques soulignent l'importance de l'Antiquité dans la formation d'une culture commune. Créé par un artisan grec du sud de l'Italie, le vase a été acquis au début du XIXe siècle par le Musée du Louvre, où il est conservé de nos jours.
Comme je ne cesse de le répéter, si le mal progresse, c’est
que le bien régresse. Dans le cas qui nous intéresse, les représentations
antéchrists sur les billets en euro sont si nombreuses et évidentes, que l’on
peut considérer que Satan juge sa bataille contre le christianisme comme gagné.
Pourquoi se fatiguer à masquer les choses, si en face plus personne n’est en
mesure de les voir, puisque l’Église de l’âge de Laodicée est devenue, malheureuse,
misérable, pauvre, aveugle et nue, Ap 3 :17. Pour ce qui concerne les
assemblées dénominationnelles, la chose est entendue depuis un moment, mais
comme toujours il subsiste un reste, ce qui motive ces quelques lignes.
Comme dans la Bible, sa lecture peut se faire à plusieurs
niveaux et nécessite un véritable effort dans son étude et interprétation. On parle de Jésus un
peu partout dans l’Ancien Testament, de manière allégorique dans le Tabernacle,
ou figurée en Esaïe 53 ou le Psaume 22. La même chose en Esaïe 14 et Ezéchiel
28 qui parlent métaphoriquement sous les traits du roi de Babylone et de Tyr de
Satan. Le même principe est repris par l’adversaire sur les billets en euro. Un
message spirituel y est inscrit en filigrane au sens propre et figuré. Ainsi le
geste de séduction renvoie à Genèse 3:13
Et l’Eternel Dieu dit à la femme: Pourquoi as-tu fait cela ? La
femme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé. Le fruit de
cette séduction sera Caïn qui produira la civilisation sumérienne et par absorbions
successive la nôtre en passant par Babylone. Pour résumer, on dira que la
séduction produira une civilisation initiée par Satan. Et c’est précisément ce
que rappelle la figure d’Europe sur les nouveaux billets. Mais pour bien
comprendre, il faut mettre l’Histoire en perspective avec la Bible.
Selon une version du mythe, Europe, fille du roi de Tyr,
une ville de Phénicie fait un rêve. Le jour même, Zeus la rencontre sur une
plage de Sidon, se métamorphose en taureau blanc, afin de l'approcher sans
l'apeurer et échapper à la jalousie de son épouse Héra. Imprudente, attirée par
l'odeur d'un crocus qui se trouve dans sa bouche, Europe s'approche de lui.
Chevauchant l'animal, elle est emmenée sur l'île de Crète à Gortyne. À Gortyne,
sous un platane qui depuis lors est toujours vert, ils s'accouplent après que
Zeus fut redevenu humain. De leur union naissent, Minos, Rhadamanthe (qui
deviendront tous deux juges des Enfers) et Sarpédon qui s'exila en Anatolie, à Milet.
Il est à remarquer que Tyr et Sidon furent les villes
capitales du royaume des Phéniciens, et que le roi de ce royaume avait son
siège dans les deux villes. Ainsi le roi de Tyr et le roi des Sidoniens
est le même; car il est roi sur tout le royaume des Phéniciens. Ceci étant rappelé
on revient à la Bible ; "Achab, fils d'Omri, fit ce qui est mal aux
yeux de l'Éternel, plus que tous ceux qui avaient été avant lui. Et comme si
c'eût été pour lui peu de chose de se livrer aux péchés de Jéroboam, fils de
Nébath, il prit pour femme Jézabel, fille d'Ethbaal, roi des Sidoniens, et il
alla servir Baal et se prosterner devant lui. Il éleva un autel à Baal dans la
maison de Baal qu'il bâtit à Samarie, et il fit une idole d'Astarté" (l
Roi 16:30-32). Ainsi on apprend quels sont les dieux de Tyr, Baal et Astarté.
Jézabel dont le nom phénicien signifie Bel ou baal est dieu étant une
prostituée sacrée d’Astarté. On connaît la suite de l’histoire avec Elie et son
combat contre Zézabel.
A Tyr, une triade formée par les dieux Melqart, Astarté
et Baal domine religieusement la ville. Melqartou Baal Melkart
était la puissance tutélaire de la cité : son nom signifie "roi de la
cité". Son culte remonte au X° siècle av. J.C. quand Hiram, le roi de Tyr,
fait ériger un sanctuaire en son honneur et répand son culte. Melqart est
considéré comme le fondateur de la cité et le protecteur de ses activités
économiques. En raison de la présence d'une forte composante tyrienne dans l'expansion
phénicienne en Méditerranée, Melqart s'exporta aux quatre coins du monde
connu : de Gibraltar à Chypre, en passant par l'Afrique du Nord, les îles
italiennes et l'Égée.
Dans la mythologie mésopotamienne, le dieu de l’orage
Baal, est devenu progressivement le maître du panthéon sémitique vers le Xè
siècle avant notre ère. Il vient, par ordre d’importance, immédiatement après
les grandes triades fondatrices sumériennes, Anou, Enlil et Enki. Il tient son
pouvoir du partage effectué à l’origine du monde. Maître du monde terrestre, il
est également, comme Anou, maître des espaces célestes.
Baal est devenu le dieu de l’atmosphère, de l’orage, de
la pluie, de la foudre et de la Tempête, Seigneur de l’air et du vent. Maître
des eaux du ciel et des phénomènes naturels, il crée les vents humides et le
printemps. De lui tout procède, notamment la vie des hommes auxquels il permet
de respirer et de faire croître les cultures. Symbole des forces de la nature
et de la vie, dispensateur des bienfaits, il peut également, en proie à de
terribles colères, semer la mort et la désolation.
Fréquemment représenté chevauchant un taureau fougueux
figurant la force souveraine, ou debout sur un char, le dieu de l’Orage
apparaît soudainement, perçant les nuages, brandissant la foudre et déclenchant
le tonnerre de sa voix puissante. Cette incarnation divine d’un phénomène
naturel personnifie les aspects à la fois bénéfiques et destructeurs du dieu.
Figure double, dispensant le bien comme le mal, il est
respecté et craint. Dans des régions où l’agriculture dépend principalement des
pluies, et pas de l’irrigation, le dieu, agissant sur les vents, déclenche la
pluie à volonté, procurant aux hommes les eaux bienfaisantes qui tombent du
ciel et les inondations qui déposent sur le sol le limon fertile. Mais il peut
aussi tarir les puits et les fleuves et provoquer de terribles sécheresses. Ses
armes les plus redoutées sont la tempête, l’inondation et le déluge. Lorsqu’il
décide d’ouvrir les vannes du ciel, il cause parfois des dégâts irréparables.
Pour punir ceux qui manquent de respect aux dieux, il provoque toute une série
de catastrophes. Quand on sait cela, on comprend pourquoi Elie annonça une sécheresse
de la part de YHWH. Tout est dans le symbole, on le voit.
Considéré comme le maître des destinées humaines, il
régit la royauté dévolue aux hommes en disposant des aspects gouvernementaux du
pouvoir. Incarnant l’Ordre contre le Chaos, il est le protecteur des rois
séculiers, à qui il envoie ses armes et les insignes de la royauté lors de leur
intronisation. Les rois, se conformant à ses préceptes, ont un règne glorieux.
Ce rôle protecteur en fait le garant des traités diplomatiques.
Le puissant dieu de l’orage est l’une des divinités les
plus universelles du monde antique. Très populaire, son culte connaît une large
diffusion et perdure de - 3 000 ans avant J.-C. jusqu'à la fin de l'époque
romaine. Il possède des temples à Assur, Ninive, Nippur, Dur-Sarrukin et Emar. Selon
les peuples et les civilisations, il revêt des visages, des attributs et des
noms différents. Il se nomme Enlil ou Ishkur chez les Sumériens, Adad chez les
Assyriens et les Akkadiens, Hadad chez les Araméens et les Cananéens, Adda dans
la cité d’Ebla, Addu chez les Amorites, Tarhon ou Teshub chez les Hittites et
les Hourrites. Mais il est toujours désigné par un même idéogramme : le signe
cunéiforme IM.
Lorsque les Babyloniens adoptent cette figure toute
puissante puisqu’elle détient l’arme suprême, l’Amaru, le déluge, ils se
contentent de la renommer Bêl, "le Seigneur" en akkadien. En
Phénicie, dans le pays de Canaan, il devient Ba’al, qui signifie "le
Maître" ou "l’Époux". Il détrône le dieu solaire El à la tête du
panthéon sémite et devient le terme générique sous lequel se cache la véritable
divinité dont le nom n’est jamais prononcé, sauf par quelques initiés. Les
Phéniciens redoutaient que les étrangers, apprenant la manière d’invoquer le
dieu, ne s’en attirent les bienfaits.
Au Ier millénaire avant J.-C., chaque cité de Phénicie
rend un culte à son Baal, son "Seigneur" ou à sa Baalat, sa "dame".
Ce nom s’accompagne d'un qualificatif qui révèle quel aspect de la puissance du
dieu est adoré. Il est Baal-Bérith, "le Seigneur des alliances",
des Schéchémites, Baal-Tsaphon, "le Seigneur du Nord", dieu de la
Vigilance d’Ugarit et Baal-Lebanon, "le Seigneur du Liban", de
Baalbek, vénéré dans toute la montagne libanaise. Il devient aussi Baal-Sor, puis
Baal-Melkart, dieu tutélaire de Tyr, Belphégor "Ba’al du mont Pe’or" chez
les Moabites et Baal Shamen à Palmyre, où avec les dieux Yarhibal et Aglibal,
il forme la triade suprême. Il désigne sous le nom de Baal-Moloch, le dieu
souverain de plusieurs peuples sémites d’Orient.
Le dieu Baal est donc le résultat d’une culture
religieuse qui migra dans tout l’arc sémitique de Sumer dans le sud de la
Mésopotamie, jusqu’aux côtes phéniciennes. Mais outre la religion, c’est tout
le progrès des civilisations qui migra avec elle, comme l’écriture ou le
commerce. Les Phéniciens n’étant que les héritiers d’une longue culture qui
historiquement renvoie directement à Caïn qui en fut l’origine. Mais cette
trajectoire ne s’arrêta pas à la côte phénicienne, elle va traverser la mer
pour conquérir la Grèce puis toute l’Europe. C’est le fondement du mythe d’Europe,
qui transmettra la culture phénicienne, son panthéon, son alphabet, etc, à l’autre
rive méditerranéenne. Ainsi l’ancien taureau Baal sémitique se transformera en
Zeus grec et le platane de Gortyne qui est toujours vert, représente Astarté symbolisée
par un arbre chez les sémites.
Une fois la trame historique reconstituée, on peut rappeler
qu’Europe est la fille du roi de Tyr Agénor. Bibliquement le roi de Tyr en
Ezéchiel renvoie allégoriquement à Satan. Ez 28 : 2 « Fils de
l’homme, dis au prince de Tyr : Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel :
Ton cœur s’est élevé, et tu as dit : Je suis Dieu, Je suis assis sur le
siège de Dieu, au sein des mers ! Toi, tu es homme et non Dieu, Et tu
prends ta volonté pour la volonté de Dieu. » Le roi qui représentait symboliquement le dieu
tutélaire dans l’antiquité sémitique, joue ici le rôle du diable, qui du milieu
des mers contrôle le commerce international de son temps. Ainsi, si on reprend
toutes les images bibliques reliées au roi de Tyr, une nouvelle représentation
se reconstitue dans l’Apocalypse au travers de la figure allégorique de Jézabel
dans l’âge de Thyatire, qui représente le Moyen-Âge et l’apparition du
catholicisme. Mais l’affaire ne s’arrête pas à l’apparition du catholicisme, elle
se développe en Apocalypse 12 mille ans plus tard et se termine au chapitre 18
par la destruction de Babylone.
L’effigie qui est reprise sur les billets en euro est
donc loin d’être anodine. Elle témoigne d’une volonté de continuité dans le
temps. Comme Europe la princesse de Tyr représente le passage de la culture
phénicienne de l’autre côté de la mer Méditerranée, sa réapparition dans le
mythe sur les billets, annonce la poursuite du processus d’intégration dans la
culture millénaire qui façonna notre civilisation judéo-chrétienne. Les Baal et
Astarté phéniciens sont devenus la Vierge Marie qui a fini par syncrétisme à
absorber toutes les composantes de la divinité. Ceci nous rappelle que l’enlèvement
d’Europe ne s’arrête pas à une séduction, mais finira par un viol dont le fruit
sera des enfants juges des Enfers. Tous les peuples d’Europe sont en train d’être
violés par le diable et ils ne le savent pas. Juste les fruits sataniques qu’ils
produisent témoignent de la fertilité de l’acte.
Il n’y plus de référence judéo-chrétienne sur les billets
en euro, mais uniquement des références catholiques. La couronne mariale, l’entrée
d’une cathédrale romane et un pont qui envoie au pontife romain. Les symboles ensemble renvoyant à Jézabel qui apparaît
dans l’Église de Thyatire. La cathédrale représente un livre de pierre destiné
à une Église qui ne sait plus lire la Bible et dont l’instruction et le dogme
sont gravés dans les murs pour initier un peuple inculte comme il l’est aujourd’hui.
Ainsi le diable n’a même plus besoin de cacher ce qu'il fait en Europe, il peut l’afficher
ouvertement comme une victoire sur l’Eglise de Laodicée désormais totalement
dominée.
C'est article est il la deuxième ou bien c'est une erreur de frappe "De la marque de la bête à sa signature 2" je pense que c'est 1 à la fin car je ne vois pas la première partie.
RépondreSupprimerLe 1 est là: http://schoenelblog2.blogspot.fr/2012/11/de-la-marque-de-la-bete-sa-signature.html
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